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Initié par Hewlett-Packard en 1965 sous le nom HP-IB (pour interface bus), et normalisé par l'IEEE (The Institute of Electrical and Electronics Engineers, Inc.) en 1975, puis mis à jour en 1987 et 1990, ce bus est souvent dénommé GPIB (general purpose interface bus).IEEE 488
VXI (virtual extension instrument) est un concept étendant le bus 32 bits standard VME (virtual machine environment) en lui intégrant les protocols IEEE 488. Notons que ce standard est en passe d'être complètement détrôné par le concept appelé PXI (PCI extensions for instrumentation) introduit récemment par National Instruments qui constatant que le bus VME est de moins en moins utilisé en milieu industriel au fur et à mesure que les microordinateurs de type PC montent en puissance, a donc étendu le concept VXI au bus PCI des PC en 1997. On dispose donc dorénavant de la facilité de connecter des dispositifs via un bus GP-IB à un PC et de concevoir un instrument virtuel tournant sous Windows et dont l'architecture a été développée avec LabView.bus VXI/VME
C'est un concept très répandu que celui de carte d'acquisition prête à l'emploi et insérable directement dans un slot du PC. Quelles en sont les principales caractéristiques:DAQ board
transfert direct des données dans la mémoire du PC résolution entre 8 et 32 bits (selon la carte) échantillonnage jusqu'à 1MHz conversion analogique-numérique et vice versa entrées sorties numériques possibles présence de compteurs et timers. filtrage possible isolation électrique entrées différentielles (ou non) multiplexage permettant plusieurs canaux d'acquisition (mais au détriment de la fréquence d'échantillonnage). parfois amplification possible du signal (mais rarement possibilité d'ajuster le gain différemment pour chaque voie de mesure).
Pour être relativement exhaustif, il convient de présenter ici la liaison 4-20mA, laquelle est appelée à disparaitre à moyen terme, mais possède encore de très nombreux adeptes en 2014 . Dans la première partie du siècle précédent, on a vu se développer une nouvelle technologie qu'on a ultérieurement dénommée électronique et qui à l'époque exploitait des tubes électroniques. Très vite les problèmes de transmission de données, à quelques dizaines voire centaines de mètres, sont apparus et tout particulièrement dans les domaines alors à la pointe des technologies de contrôle, à savoir les raffineries de pétrole. C'est ainsi qu'un ingénieur de la compagnie ESSO (Standard Oil of New Jersey) en vint à imaginer le concept de liaison 4-20mA.liaison 4-20 mA
On peut aussi remplacer cette résistance par un dispositif amplificateur tel celui figuré ci-contreOn notera qu'en parallèle avec la résistance Rcm on placera un condensateur de 0.01µF, de même en parallèle du transistor externe pour limiter le bruit. La tension de la batterie d'alimentation peut-être choisie entre 7.5 et 35V selon la longueur de la ligne et la valeur des résistances du pont (plus celles-ci sont élevées et plus la chute de tension y est élevée et impose une alimentation de tension plus élevée).
Notons enfin que l'on peut mettre un milli ampèremètre en série sur le cable de liaison mais qu'il est infiniment plus commode de mettre une résistance RL en série et de mesurer la ddp Vo à ses bornes. Cela contribue à devoir augmenter d'autant Vps mais simplifie l'électronique de conversion analogique numérique que l'on placera généralement à la suite.